Martin Luther King, au-delà des chaînes
L’exposition « Martin Luther King, au-delà des chaînes : La lutte anti-raciste de l’esclavage à la justice » offre un voyage captivant à travers les époques cruciales de l’histoire américaine. Dès l’Ère de l’Esclavage, elle plonge dans les racines de l’injustice et la vie des esclaves, illuminant leur lutte pour la liberté. La Guerre de Sécession promettait l’égalité, mais la Reconstruction a déçu. La Ségrégation a ensuite semé la violence et l’inégalité, jusqu’à ce que des héros comme Rosa Parks et Martin Luther King se lèvent, prônant la non-violence et la justice.
L’exposition « Les grands noms de la Science-Fiction » est une célébration des auteurs qui ont façonné l’un des genres les plus influents de la culture populaire. Depuis les pionniers tels que H.G. Wells et Jules Verne jusqu’aux visionnaires modernes comme Isaac Asimov et William Gibson, découvrez ces créateurs qui ont captivé l’imagination des lecteurs du monde entier avec leurs histoires extraordinaires de mondes imaginaires, de technologies futuristes, de voyages dans le temps et d’extraterrestres.
Au cinéma, dans les séries TV, dans les jeux vidéo, et bien sûr en BDs / Comics, les super héros envahissent tous les supports et n’ont jamais connu un tel succès.
C’est à un véritable voyage initiatique dans le temps et le sud profonds des états unis que nous confie cette nouvelle exposition. Tirée du livre « Le pays où naquit le blues » d’Alan Lomax édité par les fondeurs de briques (traduction Jacques Vassal), comme l’odyssée du jazz l’était du livre de Noël Balen, cette exposition explore les divers aspects du blues. Durant 40 ans, Alan Lomax a sillonné le sud des états unis et a collecté autant les musiques que les témoignages de ceux qui les ont fait naître.
Qu’y a-t-il de commun entre un abricot, un baldaquin, un divan, une fanfare, un pyjama, un tambour et une tulipe ? Entre un kiosque, du lilas, un baobab, une girafe, le signe arobase, de la bergamote ou de la percale ? Vous donnez votre langue au chat ? Tous ces mots, passés ou non par l’espagnol ou l’italien anciens, par le grec ou le latin, sont de filiations arabe, turque ou persane.
Plus jeune que ses homologues européennes, la littérature Russe resta longtemps dans l’ombre des littératures française et allemande. Sous l’influence de Pierre le Grand puis de Catherine II de Russie, le pays s’ouvrit progressivement sur l’occident et le XVIIIe siècle fut celui de la traduction en Russe des grands auteurs d’Europe de l’Ouest.
Des premiers esclaves africains jusqu’aux fulgurances électriques d’aujourd’hui. Cette fresque est une invitation au voyage dans la grande saga des musiciens afro-américains. 
12 ans après « Il était une fois la chanson française » qui est maintenant épuisée, nous avons souhaité refaire une nouvelle exposition sur ce thème mais en nous focalisant sur la période contemporaine qui couvre quand même 8 décennies ! 
C’est sur le mode de la couleur et de l’image que se raconte l’histoire de la littérature. Parascolaire mais pédagogique cette exposition, guide pour une autre lecture a été réalisée avec le soutien du magazine Lire, du ministère de la coopération et de l’association des alliances françaises.